Pour faire face aux chaleurs tropicales qui nous assaillent, voici

LA recette de thé glacé de l'été :

Mettez à frémir 1 litre d'eau dans votre bouilloire (que vous pensiez ne plus utiliser avant le mois de novembre et qu'il vous faut donc ressortir du placard ... Mais où l'ai-je donc rangée ?)

Ajoutez deux sachets de thé Earl Green de Simon Levelt (en magasin bio) : un thé vert agrémenté du goût et du parfum subtils de la bergamote ...

Laissez refroidir, puis ajoutez le jus d'un citron (bio) et, si vous le souhaitez, un trait de sirop de sucre de canne (bio) ou un carré de sucre (ou deux si vraiment vous y tenez, mais sachez qu'on perd alors un peu le bénéfice diététique du thé vert ...)

Mettez au frais.

Filtez si vous n'aimez pas la pulpe du citron.

Et enfin, consommez toute la journée avec des glaçons, en ajoutant dans la jolie carafe en verre quelques rondelles de citron (bio) et d'orange (bio)  ...:)

Enjoy !

Elles sont spectaculaires, ces photos publiées dans le ELLE de la semaine dernière.

Je ne sais pas pas trop quoi en penser. En tout cas, je suis impressionnée. Certains tatouages sont superbes, c'est certain.

J'avais découvert que des femmes japonaises, depuis longtemps déjà, se font tatouer de véritables oeuvres d'art par de grands artistes. Elle réservent  à leurs maris exclusivement l'admiration de l'oeuvre. Du coup, elles s'interdisent  de dévoiler leur corps en public : plus de piscine, plus de plage ....

Et puis, il y a ceux qui s'inscrivent dans une démarche moins artistique, plus vénale . Prenez par exemple les 40 salariés de cette société immobilière américaine, qui ont accepté de se faire tatouer le logo de leur entreprise moyennant 15% d'augmentation de salaire ...  Je vais en parler à ma DRH pour voir ...

Enfin, il y a ceux qui, comme ce jeune israelien, Ayal Gelles, arborent sur le bras le matricule attribué à Avraham Nachshon, son grand-père, raflé à 17 ans et rescapé d’Auschwitz.

Le jeune homme de 28 ans arbore fièrement ce numéro, mais cela n’a pas toujours été aussi simple. "Le cheminement a été long, douloureux. J’étais taraudé depuis longtemps par l’envie de le faire mais ce n’est qu’au terme d’un processus très lent, d’une maturation qui a duré des années que je me suis décidé", raconte Ayal. "A la fin de mon service militaire, en 2009, je suis parti voyager en Amérique du sud comme beaucoup d’Israéliens. Un jour, en Argentine, j’ai vu un troupeau de vaches aller à l’abattoir, un numéro tatoué sur l’oreille. Cette vision d’animaux qu’on traînait vers la mort et dont l’identité était réduite à un numéro m’a bouleversé. Cela m’a rappelé ce que mon grand-père avait subi. Ce jour là, je suis devenu un végétarien fervent et j’ai pris la décision de me faire tatouer à la fin de mon voyage", se souvient-il.

Boulversant !

Sources : ELLE (numéro du 26 avril 2013) - Le Huffingtonpost (édition du 5 mai 2013)

Aucun artiste dans l'histoire du rock n'a poussé aussi loin que David Bowie les relations entre créations musicales et arts visuels. En construisant sa carrière sur de multiples métamorphoses, le chanteur anglais n'a cessé de nourrir ses chansons d'artefacts - costumes, vidéos, peintures, photos, maquillages, scénographies... - puisés aux sources avant-gardistes de la mode et des arts.

On mesure dès lors l'intérêt que pourra avoir l'exposition "David Bowie Is" que le Victoria & Albert Museum de Londres consacrera à l'extraterreste pop du 23 mars au 11 août (http://www.vam.ac.uk/).

Cette démonstrative vitalité s'affiche aussi dans le nouveau disque de l'icône kaléidoscopique. Après 10 ans d'absence, il revient avec un disque plein d'éclat dont la sortie est annoncée le 11 mars.

Pour preuve, ce clip mettant en scène un Bowie à la soixantaine fringante qui joue avec autodérision du statut des icones publiques. Bowie dans cette production colorée nous enchante et nous surprend encore, jouant avec l'actrice Tilda Swinton et les doubles androgynes qui n'ont cessé d'habiter ses créations.

MERCI pour cette surprise éclatante et impromptue, Monsieur Bowie ! (Beau oui, vraiment beau !)

Source : le Monde 5 mars 2013

 

BONNES FETES A TOUS ...

C'est le moment d'aller fêter la victoire d'Obama en passant résolument à l'heure américaine.

À Paris, vous n'avez que l'embarras du choix :

Vous pouvez aller au théatre, par exemple au Châtelet, voir West Side Story
 

Du 26 octobre au 1er janvier, le théâtre présente pour la seconde fois cette mythique comédie musicale américaine. Présenté en version originale surtitrée, le spectacle reprend bien évidemment les chorégraphies et chants originaux, pour le plus grand plaisir des fans des Jets et des Sharks.

Vous pouvez aller au Grand Palais admirer l'exposition Hopper
 

C’est l’évènement de la rentrée. Hopper à Paris, pour la première fois. Le commissaire de l’exposition a parcouru les Etats-Unis pendant des mois pour convaincre les conservateurs de se séparer des tableaux du maître, et tout le monde va ne parler que de ça. Problème: dans les prochaines semaines, vous n’avez pas quatre heures devant vous (+ quatre autres de TGV pour les non parisiens) pour poireauter en grelottant sous un parapluie devant le Grand Palais, sans aucune certitude aucune de ne pouvoir jamais entrer, car bien sur, vous n'avez pas réservé votre place ...

Peut-être allez-vous, comme moi, renoncer. Sachez que vous pourrez tout de même flamber/ ne pas être largué dans les dîners en ville grâce à la petite antisèche concoctée par Annabelle Laurent pour 20minutes.fr

Autre option : l'appli de l'exposition,"Edward Hopper d’une fenêtre à l’autre", très bien faite.

Enfin, ce très joli film de Sophie Barthes que vous pouvez allez voir sur le site de Arte Creative

Vous pouvez aller au cinéma voir et revoir Charlot

Que les amateurs de film muet se réjouissent, d'ici peu, ils vont pouvoir redécouvrir le patrimoine de Charlie Chaplin sur grand écran. Dix chef-d'œuvres de la filmographie de l'artiste ont été restaurés et numérisés à partir des meilleurs éléments existants. 
Les cinémas MK2 s'apprêtent à ressortir 10 longs-métrages de Charlie Chaplin, à redécouvrir à partir du 24 octobre à Paris et en province : The Kid (1921), L’Opinion Publique (1923), La Ruée vers l'or (1925), Le Cirque (1928), Les Lumières de la ville (1931), Les Temps Modernes (1936), Le Dictateur (1940), Monsieur Verdoux (1947), Les Feux de la Rampe (1952), Un Roi à New York (1957).

Vous pouvez aller dévorer des hamburgers
 

Et tester le camion qui fume, très en vogue depuis l'année dernière (Carole nous avait parlé cet été). C'est un vrai faux délit d'initié mais on ne peut pas s'en empêcher, on adore le côté "attrape moi si tu peux" et puis le buzz parisien, il faut avoir goûter pour pouvoir y contribuer.

Vous pouvez aller dans une parfumerie acheter des produits M.A.C

M.A.C, la marque de cosmétiques rend hommage à Marylin avec un série limitée d eproduits à l'effigie de la star : du vernis à ongles à la poudre, en passant par le rouge à lèvres au Khôl : tous les grands classiques du maquillage inspirés de ses looks les plus envoûtants. La collection mise sur un packaging élégant, sur le thème de la " Séance Noire " de Milton Green ; Cette série de clichés qui met d'avantage en relief la femme fragile plutôt que le sex symbol. Les flacons sont noirs, respectant ainsi le code couleur de la marque, habillés de la célèbre photographie où l'actrice pose avec un chapeau. Les prix restent quant à eux fidèles aux habitudes de M.A.C (vernis à 15€, rouge à lèvres à 20€, mascara à 22€). Une édition limitée qui risque donc de s'arracher très rapidement... en ligne et en boutiques

Enfin vous pouvez allez faire un petit tour de shopping sur les Champs Elysées

De nombreuses marques de prêt-à-porter américaines y sont arrivées ces deux dernières années. Juste par curiosité (et uniquement), allez donc voir les nouveautés de chez  Abercrombie & Fitch ...

America, America ...

Source : sortiraparis.fr