Mais qu’est-ce que la plouf économie ?

L’économie Ploufique se définit comme l’économie de l’acte G.G.P. La portée philosophique socratique avec son large champ de recherche de vérité, son regard sur son temps, et son souci de considérer chaque individu influence certainement le concept poétique de la plouf économie. Socrate lâchait-il des cailloux dans le port du Pirée ? Ni Platon, ni Aristote ne nous l’ont révélé.

Selon le metteur en scène Yves Coudray, la définition d’un courant philosophique ploufique amène naturellement à définir son esthétisme. L’esthétique du ploufisme se situe certainement à trois niveaux qu’il définit comme étant ceux

• de la rondeur,
• de la résonnance,
• de la joie.

La rondeur étant celle de la diffusion des ronds de vagues, le cerceau des robes rondes par exemple…

Le Traité d’Economie ploufique est en cours d’écriture.

Evènement et concept poétique créé en janvier 2002 par l’artiste lyonnais Philippe Moncorgé

www.moncorge.net                                                                contact mail : philippe@moncorge.net 

Comment ça marche ? Mode d’emploi

Le ploufisme est constitué par des lancers de cailloux pratiqués chaque année dont le seul but est de faire des ronds dans l’eau. Pour commencer, il vous faut trouver et choisir un caillou soit petit, soit gros, soit poli, soit cassé…

Ensuite, à la date et à l’endroit déterminé de la plouf économie, à l’heure exacte avec les autres ploufeurs, vous lancez, jetez ou laissez tomber votre caillou dans l’eau de la rivière, du fleuve, du lac, de l’étang, de la mer ou d’un océan, d’un quai, d’une fontaine aussi.

Si vous n’avez la possibilité de vous déplacer, vous pouvez regrouper vos amis ploufeurs autour d’une bassine ou d’une baignoire.

L’objectif de la plouf économie réside précisément dans le fait d’avoir le moins d’objectifs possible, ce qui différencie cette économie des autres économies. La plouf économie vérifie l’expérience de l’acte gratuit et poétique. Elle n’affiche aucune ambition et plus important encore, elle ne provoque ni stress ni inquiétude.

 

• Il n'est bien évidemment pas question, lorsque l'on teint ses cheveux, de laisser des racines blanches s'exposer insidueusement. Les racines, ça doit rester sous-terrain ! Immédiatement, on fonce chez le coiffeur réparer cette horreur !
• on se lave les cheveux régulièrement. Sans commentaire (moi, pas de chance, c'est tous les jours).
• on évite le cheveu tout raplapla (là aussi,je me sens très concernée). Heureusement, il existe plein de produits qui aident à donner du volume aux cheveux fins et mous (c'est très glamour!)
• on opte pour la brillance : 3 cuillères à soupe de vinaigre blanc, dixit la Parisienne, diluées dans un bol d'eau réparti sur les cheveux mouillés, après le shampoing, ou alors, pour celles qui craignent de sentir la vinaigrette toute la journée, juste un dernier rinçage à l'eau froide (il faut simplement être courageuse)
• et pour finir, une visite régulière chez le coiffeur pour entretenir sa couleur si besoin et sa coupe. On n'y coupe pas !

Ensuite, le sourcil :

Peu de choses à dire sur le sourcil, si ce n'est un principe : ni trop, ni trop peu.

En résumé :

• on évite le sourcil trop fin qui 'se déplume" avec le temps et finit par n'être plus qu'un simple trait de crayon
• on évite aussi le sourcil broussailleux, genre jeune sauvageonne, sauf si on est fan de Frida Kahlo
• on entretient sa ligne. Je sais, ce n'est pas facile. Personnellement, j'ai beaucoup de mal. J'ai depuis des années un sourcil plus haut que l'autre et j'embête régulièrement mon opticien pour qu'il rééquilibre mon visage en réglant les branches de mes lunettes ! On trouve les solutions qu'on peut !
• pour tricher, il existe des kits sourcils (crayon pour combler les trous, brosse et gel fixateur) très pratiques
• et si vraiment, vous ne vous en sortez pas, il existe des bars à sourcils (c'est tout de même beau le progrès) dans lesquels vous confiez votre pilosité à une spécialiste visagiste en prenant tout de même le risque qu'elle décide de vous épiler le sourcil en forme de spermatozoide, ce qui n'est pas toujours très seyant ...

Et puis les cils

Quand je vois les miens, je ne peux m'empêcher de penser aux malheurs de Sophie. Vous vous souvenez, lorsqu'elle les coupe pour qu'ils épaississent ! D'ailleurs, je ne sais plus si ce sont les cils ou les sourcils ... Bref.

Moi qui avais des cils si épais et longs, capables de baisers papillon à n'en plus finir sur les joues des tout petits, je n'arbore plus qu'un rang de misère, qui se délite à chaque démaquillage quotidien.

J'ai donc décidé de tester les nouveaux serums anti chute, fortifiants et gainants, qui en plus allongent et densifient. Le problème, c'est que j'ai oublié de prendre la photo "avant" qui me permettrait de comparer avec la photo "après" et m'autoriserait ainsi à vous conseiller les dits produits compte tenu des résultats spectaculaires constatés ... Bon, j'ai tout de même l'impression que cela va mieux (effet placébo, effet porte monnaie ??)

Enfin, pour finir définitivement cet article pileux, je vous suggère de sortir votre calculette et de mettre en rapport le prix d'années d'épilations (à la cire, à la crème...) avec le prix d'une épilation laser, dite définitive. Evidemment, quand on est jeune, on a pas forcément l'argent pour payer les cinq séquences nécessaires pour se débarasser de ces poils disgracieux. Mais sachez-le : plus vous attendez, plus vous aurez des poils blancs (et oui !) qu'il sera impossible de dégommer ! L'avantage cependant, c'est qu'en étant blancs, ils se voient beaucoup moins ....

Une prochaine fois, je vous livrerai de nouvelles idées pour lutter contre les rides, les cernes, ... de vrais tours de magie vous attendent !

Oh, mes choupinettes, c'est juste une petite blague pour rire, que je rends illico à Maïtena Biraben, animatrice délurée des Maternelles il y a quelques années ...

 Oh, mon chéri, c'est juste un petit message pour te dire combien je suis en colère, que tu aies pu encore oublier l'anniversaire de ta maman !

Face à tant d'ingratitude, chères mamans du monde entier, il y a qu'une seule attitude à adopter : prenez un air profondément dégagé et citez Freud : "Quoi que vous ferez, vous ferez mal". Parce que c'est vrai : on a beau s'insquiner à lire Dolto, Laurence Pernoud, Aldo Naouri et les tous les autres, de toutes façons, on fera mal !

Et ils ne privent pas de nous le faire savoir, nos bambins.

Ils mentent comme des aracheurs de dents (cette expression du XVIIe siècle fait référence aux dentistes qui, autrefois, offraient leurs services sur les places publiques et dans les foires, affirmant que le patient ne souffrirait pas.... un peu de culture ...pour respirer et pour s'armer de courage, Laurence).

Ils nous mettent dans des galères impossibles, ne sachant plus comment leur faire réaliser combien leurs bêtises nous plongent dans de tels tourments ...

Inutile de se chercher des circonstances atténuantes, on n'a pas su les amener à l'épanouissement affectif, physique et psychologique qu'ils méritent ... On n'a pas su rester soit même un modèle de zenitude... On n'a pas su imposer notre autorité naturelle ... Non, on n'a pas su ! Culpabilisons, culpabilisons ...

Et puis, on comprend que l'enfant idéal n'existe pas. Qu'on a fait au mieux. Qu'on les a accompagnés, ces petits chéris, jusqu'à devenir des personnes adultes et responsables, qui, même si elles ne vous appellent pas, restent vos enfants aimés et aimants. Pour toujours.

Quelques livres pour se rassérener ... 

Ras-le-bol d’être l’héroïne parfaite des temps modernes ? L’épouse modèle, la superwoman qui jongle entre un mari indolent, des ados en révolte, un patron odieux, des voisins indiscrets et la copine célibataire qui appelle... au moment où vous passez à table ! Lisa, quadra active et surbookée est une Desperate Housewife qui mène de front son job, l’éducation des enfants, les repas de famille et les travaux de ravalement, mais qui pourrait bien tout envoyer balader : le bain, l’eau du bain, le mari, les ados, les travaux, le jardin... et la crémière !!!

Un roman-feuilleton sous forme de saynètes drôles et acides, où l’humeur se dispute à l’humour, qui met en scène la vie quotidienne d’une femme d’aujourd’hui qui apprend à ne pas perdre la face quand tout concourt à la faire vieillir beaucoup trop vite : réseaux sociaux, jeux vidéo, musique de djeun’s… Mais aussi : son mari, ses voisins, ses copines, les profs, les petits commerçants ou la grosse distribution... Sans oublier les transports en commun, les travaux, le chien d’à côté, les repas de famille et les collègues mal embouchés…

L’auteure : Valérie Domain

Valérie Domain est journaliste, spécialisée dans la presse people et féminine. Elle est actuellement rédactrice en chef de Gala.fr. Auteur, elle a notamment publié Une soirée chez les pipoles (Fayard), Entre le cœur et la raison (Fayard), Femmes de, Filles de – Portraits de femmes d’influence ( First), Bisou, maman va travailler ! Chroniques d’une mère débordée (Hors Collection).

  Editions Chiflet & Cie

Vous avez boulotté les Pépito de votre fille et elle crie famine ? Vous êtes tombée dans le lit à barreaux au moment du bisou parce que vous rentriez de soirée éméchée ? Vous avez préféré faire les soldes pour vous plutôt que pour vos petits monstres qui engloutissent déjà votre budget cinéma ? C'est pour toutes les fois où vous êtes arrivée au boulot avec une traînée de lait sur votre épaule, où l'on vous a surprise en train de fredonner Petit Ours Brun plutôt que Madonna.
Ces grands moments de solitude, la plupart des mères les vivent. La différence, c'est que nous, on les assume. Vous retrouverez dans ces pages ces faux pas de la vie quotidienne, ces coups de blues ou crises de nerfs. Des souvenirs que des centaines de mamans nous ont confiés au fil de nos discussions.
Des anecdotes déculpabilisantes et cathartiques, qui prouvent que ce n'est pas si grave si les mamans sont parfois indignes. Elles restent drôles, toujours attachantes et, surtout, elles font ce qu'elles peuvent !

Les auteures : Nadia  Daam, Emma Defaud, Johana Sabroux

  Editions Privé

Et pour finir, extraits du livre de Maîtena Biraben 

"Les enfants c'est bien, la pilule aussi ..."

« Regardez-les dormir, ils sont beaux, calmes, de véritables petits anges… Ce sont les vôtres… »

« Si ce week-end avec vos enfants vous épuise à l'avance, pratiquez la pensée positive : lundi, ils retournent à l'école.»

« Si vos enfants vous disent régulièrement qu'ils vous aiment, ne fondez pas tout de suite… Une fois c'est intéressant, deux fois c'est intéressé. »

« Quand ils vous énervent, relativisez, vous savez, vous les énervez beaucoup aussi ».

« Vos enfants sont gentils ? Alerte maximale : c'est louche ! »

« Avant, les enfants devaient obéir au doigt et à l'œil et n'avaient pas le droit de parler à table…Qu'est ce que c'était bien !»

« Les enfants, c'est comme la météo, c'est rarement comme prévu, c'est souvent contrariant, ça fait rêver et ça peut aussi gâcher les vacances. »

« Les boîtes : avant les enfants, c'est un lieu où l'on sort ; après, c'est un truc que l'on ouvre ! »

« C'est bon de faire des enfants, surtout pendant ! »

« Ne dites pas 'Mais qu'est ce que j'ai fait au Bon Dieu pour avoir un enfant pareil' mais ' Chéri qu'est ce que tu ressembles à ton père ' »

 « C'est fou ce que les enfants des autres sont pénibles ! Ah non … c'est le mien là. »

« Une femme heureuse a un enfant qui dort et un mari en pleine forme. Une mère de famille, c'est l'inverse : un mari qui dort et un enfant en pleine forme… »

« Qu'est ce qui fait du bruit, s'énerve beaucoup, ne range rien, et n'envisage pas de mettre un pied dans la cuisine ?… Une maman en colère. »

"Faire un enfant, c'est s'ouvrir au monde, en n'en voyant justement plus beaucoup ... de monde."

" Les enfants, c'est comme la gym : on s'y met le plus tard possible et quand on y est ... on comprend pourquoi on a tant attendu !"

COURAGE !!!!

Charité, générosité, solidarité, modernité : c'est l'âme des nouveaux concept stores qui foisonnent à Paris et ailleurs.

Envie d'aller faire votre B.A. shopping ? Voici quelques adresses de charity shops sur Paris.

Le salon Emmaüs à Paris-Expo

Des meubles, des vêtements, des vélos collectés dans toute la France par 150 communautés, c'est ce que promet la XIIème édition annuelle. Ou comment se faire 10 vide-greniers en un dimande !

Le salon Emmaüs

Parc des Expositions, Hall 2

Porte de Versailles

75015 Paris

de 9h30 à 19 heures

La ressourcerie l'interloque

Acteur de l'économie sociale et solidaire, la Ressourcerie tisse de nombreux partenariats, rpivilégie le service à la population, crée des empois locaux socialement utiles. Trois adresses dans le XVIIIème arrondissement de Paris. Ici, on collecte, on récupère, on valorise et on revend des déchets triés et remis en état par des habitants du quartier au chômage longue durée. On y pratique le recyclage créatif en revampant des petits meubles ou en détournant des claviers d'ordi ...

L'interloque

7 et 7 ter rue de Trétaigne

14 bis rue des Cloÿs

75018 PARIS

tel 01 46 06 08 56

Salon de coiffure Joséphine

Un « salon de beauté social » où les femmes au chômage, sans domicile ou isolées, les femmes les plus démunies peuvent se faire chouchouter et avoir le droit d’être coquette. Situé dans le quartier multiculturel et populaire de la Goutte d’Or, ce salon fait partie d’un projet national. « En plus de pouvoir se faire coiffer et maquiller par des professionnels, les femmes ont accès à différents ateliers : alphabétisation, cuisine, formation aux métiers de l’esthétique… Les prix sont symboliques, entre 3 et 5 euros la journée, mais c’est pour leur laisser la fierté de payer. »

Rendre la beauté accessible et redonner l’estime de soi aux femmes les plus démunies, c’est ce pour quoi Lucia Iraci se bat depuis plusieurs années. Le projet prévoit une extension dans toute la France d’ici cinq ans pour bénéficier à un plus grand nombre de femmes.

Salon social Joséphine

du lundi au vendredi de 9h30 à 17h30
28 rue de la charbonnière - 75018 Paris
métro Barbès Rochechouart

tel. 01 42 59 43 36
http://www.josephinebeaute.fr/

Farinez'vous

Le projet a été pensé en respect des principes de l'économie sociale et solidaire, dufinancement à l'aménagement, de la constitution de l'équipe aux choix de smatières premières et des produits confectionnés. 

Parfaite pour la pause-déjeuner ou le goûter - testez la brioche aux raisins et à l'orange confite -, cette boulangerie artisanale contemporaine meublée récup', avec wifi et journaux à dispo, est aussi une entreprise solidaire, qui sort des chômeurs longue durée du pétrin. 
   

Farinez'vous

9 bis rue Villiot
75012 Paris
tel : 01 43 07 32 39

Respec'Table

Respec’Table est un restaurant solidaire. Le projet est de répondre aux enjeux sociaux et environnementaux d’aujourd’hui. Cette cantine bio est une entreprise d'insertion qui recrutent et forme des personnes en difficulté. La cuisine est saine, savoureuse et créative : faux filet au confit d'oignons, lasagnes "veggie" au curry, tiramisu maison, tout est bon, vitaminé, ultrafrais. L'ambiance est chaleureuse et familiale. Bref, c'est l' occasion de se faire plaisir en s'engageant en faveur d’une économie plus sociale et plus humaniste.

Respec'Table
5 rue de la Tour d'Auvergne
75009 Paris
ouvert tous les midis du lundi au samedi ainsi que les jeudi, vendredi et samedi soir

Bus : le 85 arrêt Maubeuge Rochechouart.
Métro : Anvers, Cadet ou Notre Dame de Lorette.
tel : 01 42 80 03 44

Ouvert du lundi au samedi de 10 heures à 19 heures

Métro Saint Sébastien-Froissart (ligne 8)

Ne vois-tu rien venir ?

Ne vois-tu pas cette ignominie qui se prépare ?

Ne vois-tu pas dans notre regard compassé et incrédule notre incompréhension devant tant de déni ?

Ne vois-tu pas ces pauvres "domestiques" rassemblées à la porte du tribunal crier leur malheur ?

Ne vois-tu pas que le monde réel n'est pas celui dans lequel tu évolues ?

Ne vois-tu que le pouvoir et la puissance qu'il confère peut être un piège dans lequel même la conscience des hommes les plus brillants peut se perdre ?



Anne, ma soeur Anne, j'ai mal pour toi. Je ne suis pas admirative devant ta droiture et ta dignité. Non. Mais je pleure ta souffrance, ton abnégation, ton sacrifice.